24.08.2003
Manteau de Gloire |
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LIMOUSIN
"Visite matinale en ce calme dimanche. Tout est évidemment fermé. Nous profitons de cette tranquillité pour nous promener dans les rues quasi dessertes de la ville. Nous déjeunons aux Glénans, une petite crêperie bretonne en terre corrézienne. Une légère pluie arriva dans l'après midi, nous allâmes donc au musée Labenche composé en deux parties : une exposition temporaire en entrée libre consacré au moment de notre visite à l'art africain et une exposition permanente très diversifiée : archéologie, tapisseries, outils agricoles et artisanaux, costumes, objets d'époque et hommes célèbres de la région. Malgré son apparence , c'est un vaste musée, et dans lequel nous avons beaucoup marcher. Très instructif et sa diversité ne nous permet pas de nous ennuyer ou de nous lasser."
Une population gallo-romaine s'installa il y a 2000 ans auprès du seul pont du passage de la Corrèze, 30 km à la ronde, d'où le nom de Brive (Briva : le pont, en latin) Au Ve siècle, Martin, un espagnol de 20 ans converti au christianisme vint évangéliser la région. Martyr, on lui construit la première église dont nous pouvons voir les murs dans la crypte de l'actuelle Collégiale St Martin du XIIe siècle. Au XIIIe siecle, St Antoine de Padoue vécu un an à Brive, et Notre Dame de Bonsecours lui apparu, ce qui fait de Brive le pèlerinage national en l'honneur de ce saint. Au XIIIe siècle, la ville devint un consulat afin de se libérer de l'emprise des seigneurs environnent. Au XIVe siècle, afin de lutter contre les anglais, la ville se fortifia et reçu alors le nom le nom de Brive-la-Gaillarde. Après les guerres de religions du XVIe, les XVIIe et XVIIIe devinrent les périodes fastes de l'architecture et de urbanisme, d'autan que le frère du Cardinal Dubois, ministre du Régent, devint lui même ministre de L'équipement et de ce fait, améliora l'urbanisme. Au XIXe siècle, le chemin de fer arriva à Brive et la ville alors s'agrandit considérablement. Durant la guerre 1939-45, la ville de Brive, au centre d'un noeud de résistance, devint la première ville de France à se libérer par ses propres moyens et obtint la croix de guerre avec palme.
Brive la Gaillard, city of Corrèze département,
Limousin région, south-central France. It lies along the Corrèze River west of
the Massif Central, south of Limoges. Rock caves nearby show evidence of
prehistoric occupation, and later inhabitants left some stone monuments. The
town originated as the Roman Briva Curretiae (“Corrèze Bridge”). In the Middle
Ages it was the capital of lower Limousin. St. Anthony of Padua founded a
monastery there in 1226, and the curious Romanesque Church of Saint-Martin is an
example of 12th-century Limousin art. Some medieval houses, notably La Labenche,
also survive in the town. Brive lies in a fertile area where three former
provinces (Limousin, Périgord, Quercy) met. It benefited from its position at
the crossing of the main north-south (Paris-Toulouse) and east-west (Bordeaux-Geneva)
rail and road routes. The Brive basin is well sheltered from climatic extremes,
and thus an agrarian and industrial economy prevails. Grain, fruit, paper, and
pork are major products, and there is light and heavy industry. Pop. (1990)
52,677.