Lundi 26 Juillet 2004

Cuandos tu vas
by Chenoa

pour agrandir les photos, cliquez dessus
 pour les vidéo  faites "enregistrez sous" avec le bouton droite de la souris.

   


PAYS BASQUE ESPAGNOL
 PAÍS VASCO ESPAÑOL / EUSKADI

"Après un long voyage en bus depuis Paris la veille, nous sommes enfin en Espagne. Encore quelques heures et nous arrivons à Bilbao en pays basque espagnol vers 10hoo juste devant le musée Guggenheim. Celui ci n'ouvre que dans une demi heure (Tarif de l'entrée fort élevé - demi : 8€ / plein : 13€), donc nous continuons le chemin vers le centre ville. Nous découvrons qu'il est encore bien tôt chez nos amis les ibères, tout est fermé ! L'office de tourisme est ouvert, nous récupérons une carte de la ville. Vers midi, la ville commence à se réveiller, et nos estomacs commencent à avoir faim. Nous cherchons un endroit où nous attabler, nous entrons dans un restaurant - le serveur nous dit de repasser plus tard vers 13h / 13h30, pas de service maintenant. Nous jetons un coup d'oeil aux autres lieux de restauration et même constat : pas de service à cette heure ci ! "Il est bien tôt"... Nous allons donc à la recherche d'un supermarché pour acheter quelques produits à manger ou grignoter. Nous avions vu un supermarché trente minutes plus tôt mais on ne souvenons plus du chemin. On tourne en rond et vain. Une française résidant dans la ville nous entend parler de notre mission "Supermecado". Elle vient vers nous et nous indique le chemin du plus proche. On s'y rend, j'achète un sandwich "anglais" (ceux en triangle), une bouteille d'eau et un yaourt liquide style "yop" espgnole à l'aloès vera -> délicieux !!! . Nous nous régalons, tellement nous avions faim... C'est dur le "décalage horaire" ! Bilbao est une ville de contrastes architecturaux, en perpétuel mouvement de modernisme typiquement hispanique. (à suivre...)"

Bilbao (349 972 habitants), en basque Bilbo, ville et port maritime du nord de l’Espagne, située à une dizaine de kilomètres de l’embouchure du Nervión, sur le golfe de Gascogne, capitale de la province de Biscaye, dans la communauté autonome du Pays Basque.

Bilbao se compose d’une vieille ville qui s’étend sur la rive droite du Nervión, et d’un quartier moderne, édifié au XIXe siècle, sur la rive gauche ; plusieurs ponts relient les deux quartiers.

Fondée en 1300, Bilbao est devenue rapidement le grand port de la façade atlantique de l’Espagne. La ville a bâti sa richesse sur l’exportation de la laine récoltée dans le centre de la péninsule, en Castille, et exportée vers la Flandre, les ports de la mer du Nord et les cités de la Hanse. Au XVIIe et au XVIIIe siècle, la fortune de la ville déclina en raison de la guerre de course menée par les Anglais et elle perdit, au profit de Séville, sa première place dans le commerce avec les Amériques. Au XIXe siècle, la demande en minerai de fer et en acier dans toute l’Europe fit de Bilbao une cité industrielle et sidérurgique. La ville a subi trois importants sièges au cours des guerres carlistes en 1835 et en 1836 puis en 1874. Pendant la guerre d’Espagne (1936-1939), Bilbao fut la capitale de l’État basque fondé par les nationalistes du PNV. La ville fut reprise en juin 1937 par les Franquistes et subit une très dure répression. Les vieux quartiers de Bilbao ont été considérablement endommagés par une inondation en 1983, mais ont été restaurés depuis.

La ville possède plusieurs églises, dont la célèbre église gothique de Santiago (Saint-Jacques) qui date du XIVe siècle. On trouve également de nombreux musées consacrés à l’histoire des Basques et à l’art contemporain, notamment le musée Guggenheim, œuvre de l’architecte américain Frank Gehry, inauguré officiellement, en présence du roi d’Espagne Juan Carlos, le 18 octobre 1997. Exclusivement consacré à l’art du XXe siècle, la construction du musée a nécessité un investissement de l’ordre de 600 millions de francs, la fondation Guggenheim et le gouvernement basque ayant souhaité ainsi mettre en valeur le patrimoine culturel de la ville. Bilbao possède une université réputée, celle de Deusto (1886). Bilbao compte aussi parmi ses célébrités, l’écrivain et philosophe Miguel de Unamuno, qui est né à Bilbao. Bilbao voit aussi tous les ans se dérouler au mois d’août une célèbre corrida (la Semana Grande).

Bilbao est un nœud de communication desservi par plusieurs lignes de chemin de fer, par la route, par un aéroport international et l’avant-port de Portugalete. Son trafic portuaire (fer, céréales, vin) en fait aujourd’hui le second port d’Espagne. L’économie urbaine s’y est diversifiée : les principales industries sont les constructions navales, les cimenteries, les produits chimiques, les industries alimentaires, le fer et l’acier, les machines, le papier et le textile.

Bilbao, port city, capital of Biscay (Vizcaya) provincia, in the comunidad autónoma (“autonomous community”) of the Basque Country, northern Spain. Bilbao lies along the mouth of the Nervión River, 7 miles (11 km) inland from the Bay of Biscay. It is the largest city in the Basque Country.

Bilbao originated as a settlement of seafaring people on the banks of the Nervión's estuary. The inhabitants began to export both the iron ore found in large quantities along the river's eastern bank and the products of their ironworks, which became well known in Europe. To this settlement of mariners and ironworkers, Don Diego López de Haro, lord of Biscay, in 1300 gave the charter and privilege of self-government in an independent municipality. Bilbao's port was also a centre for the export of wool from Burgos, in the interior of Castile, to Flanders. In 1511 the city obtained the right, like Burgos, to its owncommercial tribunal that could issue laws in the form of ordinances. The last of these, promulgated in 1737,formed the basis of the first Spanish commercial code in 1829. In the 18th century Bilbao derived great prosperity from intensive trade with the American colonies of Spain. The city was sacked by French troops in the Peninsular War (1808) and besieged four times during the Carlist Wars. These struggles produced a strong communal spirit that after 1874 directed itself toward industrialization.

Bilbao is the most important port in Spain. It also has one of the nation's largest concentrations of metallurgical industries, which arose in the 19th century based on the exploitation of the local iron ore deposits. Bilbao also has important chemical industries, produces textiles and building materials, and is a financial centre. Its maritime activities include the fishing industry and shipbuilding and ship repairing.

The old part of Bilbao lies on the western (right) bank of the Nervión River, its nucleus being formed by the Siete Calles (“Seven Streets”), a series of parallel streets leading to the riverbank. The old city's notable landmarks include the Gothic-style Cathedral of Santiago (14th century), the Plaza Nueva (early 19th century), and the Renaissance-style churches of San Antonio, Santos Juanes, and San Nicholas. Several towns on the left bank of the river were annexed to the municipality after 1890, forming the modern extension of the city. This new section is a banking, commercial, and industrial centre and is the site of the provincial government's offices. Six bridges cross the Nervión to link the old and new parts of the city. Bilbao has numerous museums, an engineering school, a Roman Catholic university, and the University of the Basque Country (1968). Pop. (1982 est.) 450,024.

 

Euskadi Museo Guggenheim Architecture fontaine "espagnole" Des rues animés
         
Louise Bourgeois
"Maman"
Architecture
 
BILBAO
BILBOKO
"hoss for homeless"
no comment
La Gran Via
Artère Principale
         

Eglise Saint Antoine / Iglesia de San Antón
1422 - 1777

EUSKADI Estrade Musée
Guggenheim
         
"Courants d'air Océaniques,
Courants d'Arts
Uniques..".
Un chien "fleuri"
à l'entrée du Musée
un insecte butinant
une marguerite
Vue des environs
 
Museo
Guggenheim
         
 
MUSÉE GUGGENHEIM

Conçu par l'architecte nord-américain Frank O. Gehry, le Musée Guggenheim Bilbao est situé sur une parcelle de 32.500 m2 qui présente quelques caractéristiques particulières: d'un côté elle se trouve au niveau de la ria du Nervión, autrement dit 16 m en dessous de la cote de la ville et de l'autre elle est traversée à l'une de ses extrémités par le pont colossal de La Salve, une des principales entrées de la ville.

L'architecture au service de l'art
L'édifice est composé d'une série de volumes interconnectés, les uns de forme octogonale et recouverts de pierre calcaire, les autres courbés, tordus et revêtus d'une peau métallique en titane. Ces volumes se combinent avec des murs en rideau de verre qui dotent de transparence tout l'édifice. En raison de leur complexité mathématique, les sinueuses courbes de pierre, verre et titane ont été conçues par ordinateur. Le verre utilisé dans le Musée Guggenheim Bilbao est traité de telle sorte que, tout en étant totalement translucide, il protège l'intérieur de la chaleur et des radiations. Quant aux panneaux en titane qui, comme des "écailles de poisson", revêtent de grands pans du bâtiment, ils ont une grosseur d'un demi millimètre et sont garantis pour durer cent ans. Dans son ensemble, le design de Gehry crée une structure spectaculaire et énormément visible en réalisant une présence sculpturale avec, en toile de fond le centre de Bilbao.

Un nouveau centre pour la cité
L'entrée principale du Musée se trouve au bout de la rue Iparraguirre, l'un des axes neuralgiques de Bilbao qui traverse toute la ville en diagonale comme un trait d'union entre le centre urbain et le musée. Le large escalier qui aboutit au vestibule du musée ne témoigne pas d' un design courant pour les bâtiments institutionnels -qui, normalement, présentent des escaliers ascendants pour en renforcer la solennité. Celui-ci, au contraire, résout avec succès la différence de hauteur qui existe entre la cote de la ria et celle de la partie centrale de la ville, ce qui rend possible un édifice de 24.000 m2 de surface et de plus de 50 m de hauteur, qui, cependant, ne dépasse pas en hauteur les constructions environnantes.

Une ville dans la ville
Une fois le vestibule franchi, le visiteur se retrouve dans l'atrium, qui représente l'un des traits les plus caractéristiques du design de Gehry. De la verrière zénithale en forme de "fleur métallique", surgit un flot de lumière qui illumine cet espace chaleureux et accueillant. De l'atrium on peut accéder à une terrasse couverte d'un auvent prenant appui sur un unique pilier en pierre, qui sert une double fonction, pratique et esthétique, et offre également une splendide vue panoramique sur la façade arrière du musée. La large volée de marches qui remonte vers la tour sculpturale conçue pour absorber et intégrer le Pont de La Salve dans l'ensemble architectural constitue également un accès public qui connecte les promeneurs avec le centre urbain.
Les trois niveaux de galeries que comporte l'édifice s'organisent autour de cet atrium central et s'interconnectent grâce à un système de passerelles curvilignes suspendues au plafond, d'ascenseurs vitrés et de tours d'escaliers. Une vision spectaculaire qui a été qualifiée de ville métaphorique, dans laquelle les panneaux de verre qui recouvrent le puits d'ascenseur évoquent les écailles d'un poisson qui bondit et se retord; quant aux passerelles qui remontent le long des parois intérieures, elles ressemblent à des autoroutes verticales tandis que les courbes de plâtre qui couronnent l'atrium suggèrent les nerfs moulés d'un dessin de Willem de Kooning. En définitive, tout un artifice de design architectural porté à ses plus extrêmes limites.

Un espace pour l'art
Le bâtiment dispose au total de 11.000 m2 d'espace d'exposition, espace distribué en dix-neuf galeries. Dix d'entre elles ont une forme octogonale d'aspect plutôt classique, identifiables de l'extérieur grâce à leur parement de pierre. Par contraste, neuf autres salles présentent une irrégularité singulière et s'identifient de l'extérieur par leur parement de titane et leur architecture. A partir d'un jeu de volumes et de perspectives, ces galeries permettent des espaces intérieurs énormes qui, toutefois, ne produisent aucun effet d'écrasement sur le visiteur. Les oeuvres de grand format trouvent leur place dans une galerie exceptionnelle de 30 m de large et de 130 m de long, libre de colonnes et au sol préparé avec un type de revêtement spécial apte à supporter le piétinement et le poids des oeuvres qui y sont logées. Cette galerie, vue de l'extérieur, traverse le Pont de La Salve par en dessous et s'achève à son extrémité sur la tour qui feint d'embrasser le pont pour l'inclure dans l'édifice.
Toutes les salles jouissent d'un éclairage naturel en provenance de verrières zénithales qui permet de créer une ambiance naturelle et confortable. Il est important de souligner cependant que ces verrières n'ont pas pour mission d'éclairer les oeuvres d'art, dans la mesure où la lumière naturelle a des effets pernicieux sur elles; il est donc nécessaire d'en contrôler l'intensité à l'aide de tissus de protection qui adhèrent au verre. Un simple regard à cet extraordinaire édifice, aux mondes qu'il suggère, nous fait comprendre que nous nous trouvons face à une architecture radicalement nouvelle. Une technologie de pointe, des matériaux inusuels et des formes audacieuses se sont combinés pour ériger ce qui constitue déjà, sans aucun doute, le dernier grand musée de notre siècle.

MUSEO GUGGENHEIM

Diseñado por el arquitecto norteamericano Frank O. Gehry, el Museo Guggenheim Bilbao está situado en una parcela de 32.500 m2 que se halla a nivel de la ría del Nervión, es decir a 16 m por debajo de la cota de la ciudad de Bilbao y que está atravesada en uno de sus extremos por el colosal Puente de La Salve, una de las principales entradas a la ciudad

La arquitectura al servicio del arte
El edificio está compuesto de una serie de volúmenes interconectados, unos de forma ortogonal recubiertos de piedra caliza, y otros curvados y retorcidos, cubiertos por una piel metálica de titanio. Estos volúmenes se combinan con muros cortina de vidrio que dotan de transparencia a todo el edificio. Debido a su complejidad matemática, las sinuosas curvas de piedra, cristal y titanio han sido diseñadas por ordenador. Los muros cortina de cristal han sido tratados especialmente para que la luz natural no dañe las obras, mientras que los paneles metálicos que recubren a modo de "escamas de pez" gran parte de la estructura son láminas de titanio de medio milímetro de espesor, material que presenta unas magníficas condiciones de mantenimiento y preservación. En su conjunto, el diseño de Gehry crea una estructura singular, espectacular y enormemente visible, consiguiendo una presencia escultórica como telón de fondo al entorno de la ciudad.

El nuevo centro urbano
La entrada principal del Museo se encuentra enfilando la calle Iparraguirre, una de las calles neurálgicas que cruza diagonalmente Bilbao, en un intento de extender el centro urbano hasta la puerta misma del museo. Mediante una amplia escalinata descendente -diseño infrecuente en edificios institucionales- se accede al vestíbulo del Museo, resolviendo de esta forma con acierto la diferencia de altura existente entre la cota de la ría y la del Ensanche de la ciudad, y haciendo factible que un edificio de 24.000 m2 de superficie y más de 50 m de alto, no sobrepase la altura de las construcciones circundantes.

Una ciudad dentro de otra
Una vez pasado el vestíbulo y penetrando en el espacio expositivo, se accede al atrio, uno de los rasgos más característicos del diseño de Gehry, que está coronado por un lucernario cenital en forma de "flor metálica", del que brota un chorro de luz que ilumina el cálido y acogedor espacio. La terraza, accesible desde el atrio y con vistas a la ría y al jardín de agua, está cubierta por una marquesina apoyada en un único pilar de piedra, con una doble función protectora y estética. Una amplia rampa de escaleras que parte de la fachada posterior, asciende hasta la escultórica torre, concebida para absorber e integrar el Puente de la Salve en el complejo arquitectónico.
Los tres niveles de galerías del edificio se organizan alrededor de este atrio central y se conectan mediante pasarelas curvilíneas, ascensores acristalados y torres de escaleras a modo de ciudad metafórica donde los paneles de cristal que cubren los ascensores evocan las escamas de un pez que salta y se retuerce, las pasarelas que suben por las paredes interiores son como autopistas verticales, y las curvas de escayola que coronan el atrio sugieren los nervios moldeados de un dibujo de Willem de Kooning. En definitiva, todo un artificio de diseño arquitectónico llevado a su límite.

El espacio del arte
El edificio dispone de un total de 11.000 m2 de espacio expositivo distribuido en diecinueve galerías. Diez de ellas tienen forma ortogonal y aspecto más bien clásico, identificables desde el exterior por su recubrimiento en piedra. En contraste, otras nueve salas son de una irregularidad singular y se identifican desde el exterior por su recubrimiento de titanio. A base de jugar con volúmenes y perspectivas, estas galerías proporcionan espacios interiores descomunales que mantienen el singular perfil exterior y por los que, sin embargo, el visitante no se siente en absoluto desbordado. Las obras de gran formato tienen cabida en una galería excepcional de 30 m de ancho por 130 m de largo, libre de columnas y con un tipo de suelo preparado especialmente para soportar el trasiego frecuente y el peso de las obras que aloja. Esta galería vista desde fuera discurre bajo el Puente de La Salve por debajo y se topa en su extremo con la torre que simula abrazar el puente e incluirlo en el edificio.
Existe una estrecha armonía entre las formas arquitectónicas y los contenidos de cada galería. Esto, sin duda, clarifica el recorrido por el interior del museo, que además, gracias al eje central del atrio y a las pasarelas que llevan de una a otra galería permitiendo ver los espacios expositivos desde otras perspectivas, facilitan la ubicación y localización de salas y servicios en todo momento. Al penetrar en el museo, el visitante descubre que bajo la externa complejidad de formas arquitectónicas, se oculta un mundo ordenado y claro donde no pierde su orientación.

 

Santillana
del Mar

CANTABRIE
CANTABRIA
"Santillana
BY NIGHT"
à l'entrée de notre hôtel flâner dans les rues la Collégiale
     

Santillana de la Mer est situé dans la côte occidentale, à 31 Km de Santander et très près d'autres localités touristiques de la côte et de la ville de Torrelavega. A été élu le peuple le plus beau de l'Espagne et il est mondialement connu pour les grottes d'Altamira.

Santillana del Mar se encuentra situada en la costa occidental, a 31 Km. de Santander y muy cerca de otras localidades turísticas de la costa y de la ciudad de Torrelavega. Fue elegido pueblo más bello de España y es mundialmente conocido por las cuevas de Altamira.

 

Note : toute personne a le droit à l'image, donc quiconque se voyant sur ces images
et ne voudrait pas y figurer,  peut me contacter pour retirer les photos ou/et vidéo en question

Retour

© 2004 frenctouch - tous droits réservés